L'embouchure...
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  oumrebia
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[3] Commentaires des visiteurs du site
Hicham Farhat Belmehdi Mardi 21 Septembre 2010 17:32
Macha'Allah! si suelement les mains avides se tiennent loin de cette ville unique en son genre ... Merci Mr El Baz , je ne vous connais pas... mais j'aimerais bien un jour. Llah ynasrek
Azemmourien de 1949 Lundi 22 Juillet 2013 18:38
Vous voyez le large terrain vague à l'extrême gauche de la prise de vue, juste au milieu de la photographie, entre les deux parties de la faune, c'est à cet endroit précis que se disputaient régulièrement le dimanche après-midi de chaque semaine des rencontres de football des quartiers. C'est le terrain de Sidi Ouaâdoud qui abritait hebdomadairement des matchs soigneusement et copieusement organisés par les quartiers avoisinants et ce, avec arbitres, tenues réglementaires, boissons rafraîchissantes, oranges et coupes pour les équipes gagnantes. Assistait à ces rencontres de football une foule de spectateurs considérable, à l'instar des six autres terrains de quartiers similaires à travers la ville. Ni le conseil municipal, ni le ministère de la jeunesse ni autre institution n'étaient sollicités pour un apport quelconque, de quelque nature que ce soit. Ah, c'était vraiment le bon vieux temps, où la jeunesse locale comptait sur ses propres moyens, le plus souvent des moyens de bord, pour organiser de telles festivités sportives, culturelles, musicales, théâtrales et artistiques. Tout le monde faisait de son mieux pour la réussite de ces festivités, notamment les spectateurs qui faisaient montre d'une assiduité insigne. Bravo pour la jeunesse d'antan et que vive ma belle cité éternellement charmante et productive comme elle l'était toujours. A bientôt et à la prochaine.
Azemmourien de 1949 Mardi 27 Août 2013 16:08
Contemplez avec moi ce joli tableau. On dirait qu'il est peint à la main habile d'un peintre de grande renommée mondiale, de l'acabit de Julian Bec, Jean Fouquet ou Charles Le Brun. Observez ces différentes couleurs naturelles qui embobinent ce cadre splendide et sublime : de la faune, du sable sur les rives de l'Oum Er-rabiî, de l'eau verdâtre - bleuâtre - grisâtre, du sable de la mer au fond du paysage. Vraiment, nous n'avons présentement rien à envier aux actuels habitants de la belle cité AZAMA. C'est plutôt à eux de nous jalouser (et ça serait légitime) et de nous envier la belle époque que nous avions sereinement vécue au sein de la nature paradisiaque qui nous enrobait de ses draps de beauté de partout dans la banlieue de notre chère ville blanche. Adieu la belle époque! Adieu nos chers compagnons d'antan! Puisse Dieu te garder toujours sublime et continuellement splendide, ô ma belle Azama, mon idole. A bientôt et à la prochaine.
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