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[5] Commentaires des visiteurs du site
Bobby Setzer Samedi 21 Juillet 2007 08:40
Pardon, mais je pense la voiture dans cette photo est des annees 1930. Belle photo. Tu a fait une tres belle montage, et une grande chose pour les peuples de Azemmour et les qui aimez elle.
ROCHDI NOUREDDINE Mercredi 28 Novembre 2007 11:51
nous voulons juste savoir pourquoi cette partie a éte raseé? et a cause de qoui?
Azemmourien de 1949 Mercredi 14 Août 2013 22:42
La 6ème boutique ouverte sur la rangée droite de la photographie, est celle ayant été occupée à partir des années 50 par le réparateur de cycles Ould lhaj Larbi alias "loura", alais "aba ayoub essari" (son mot-clé habituel surtout lorsqu'il était dans un état d'ébriété très avancé, allusion au Saint Moulay Bouchaïb qu'il aimait éperdument). La voiture était en stationnement devant la boutique de Lhaj Ahmed Zemmouri, également réparateur de cycles, et en face du dépôt de la limonade pepsi-cola détenu autrefois par feu Mustapha Ben Dahhou alias "laâjaj". Le dépôt en question était situé juste là où il y a actuellement la grande pharmacie et l'agence de la banque populaire à la place du souk. A bientôt et à la prochaine.
wahed maf9ousse 3la azemmour Mardi 17 Septembre 2013 23:56
iwa daba ha howa partie dial essour rabe hda bab sid lmakhfi oma dahafih hata wahed amma waahed eddarih sid el makhfi tallo 3lih 3amer ghir snadek dial lmonada ou bzzaf dial lhawayge hata el adriha mab9at 3andha horma.rahmou azemmour
Azemmourien de 1949 Dimanche 28 Septembre 2014 16:57
Je ne doute point de votre sens de savoir-vivre et de votre bon goût de belles choses, ô chers visiteurs de ce site. Néanmoins, laissez-moi vous demander poliment d'observer profondément cette belle architecture qui caractérisait, par le passé, notre aimable bijou "AZAMA". N'était-ce pas sensationnel ?! Regardez bien ces devantures des quartiers, leur ossature, leur fond de plan et leur arrière-plan qui démontraient, pour ceux qui voulaient en apprendre des choses, comment nos grands-parents et nos arrières grands-parents savaient bien tenir les rênes de la bonne gestion de leur ville. Contemplez cet alignement rectiligne d'anciennes boutiques dont la conception et la pose étaient inéluctablement judicieuses, en dépit du peu de moyens de bord dont ils disposaient à l'époque. C'était vraiment génial, comme on n'en trouve plus de nos jours, même dans les villes les plus grandes et les plus modernes du Maroc ; exception faite toutefois pour les cinq villes impériales : Marrakech, Rabat, Fès, Meknès et Tanger, lesquelles cités historiques ont su sauvegarder énergiquement ensemble leurs anciens souks et anciens marchés aux puces dans leur état initial. Là, on peut trouver encore des boutiques pareilles, tant au plan architectural qu'à celui des matériaux de construction. Dans le même ordre d'idées, où sont donc passées nos anciennes boutiques ? Qu'en est-il advenu d'elles ? Cette interrogation légitime ne saurait trouver de réponse plausible auprès de nos braves conseillers de malheur et ce, pour la simple raison qu'eux-mêmes, non seulement ils ne se sont jamais posé cette question, mais ils n'y ont jamais pensé. Pourquoi donc ? Eh bien, tout simplement parce que les termes patrimoine, historique, culture et civilisation ne leur disent rien du tout. Cela n'a jamais été de leur culture et ne leur signifie absolument rien de fructueux. voilà la réalité ! Lhassil, à bientôt et à la prochaine.
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