Babalkasaba
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[6] Commentaires des visiteurs du site
AE Dimanche 04 Septembre 2005 20:18
Qu’est ce que c’est! Ce n’est pas la place de Jamae lafna…c’est un espace vague …qui sert parfois a accueillir les soirées de la semaine culturelle de la ville d’Azemmour ou lors des fêtes nationales…en dehors de ces occasions c’est un désert très long a traverser….Un très grand Merci pour le génie qui a eu cette idée !!!!!! s’il est mort Allah yaghfer lih wa lana wa ljamia lmosslimine…
ROCHDI NOUREDDINE Mercredi 28 Novembre 2007 17:50
si vous vous rappellez bien,cette place etait identique a jamae lafna .il y avait une bonne activité.car tous les voyageurs qui passaient par le pond oum rabia etaient oubligeés de passer par cette place .vous savez pourquoi? c'est là ou il'y avaiait la garre des voyageurs rappellez bien monsieur abdel si vous viviez cet époque.si non il y a des anciens photo- le CTM - LAHLAKI-TERRAIN DE TENNISS devant le commissariat -kioske de tabac-au milieu-ou zid ou zid.....JAMAE LAFNA a gardé ces tradition mais, Azemmour (TFANNA).nous voulons pas el khachaba wa....mais ca m'empeche pas de dire AAAAAAMINE.
Jamal Mercredi 28 Novembre 2007 19:23
Merci Mr Rochdi pour tous les commentaires et merci encore pour ton amour pour Azemmour le ville tant oubliée, mais ça commence à bouger et notre ville aura une seconde vie !! (si j'ose dire).. Md Jamal Elbaz
ROCHDI NOUREDDINE Jeudi 29 Novembre 2007 10:49
C'est à nous de vous remercier chere frère.ALLAH YARDA ANNAK.
aziza idrissi Mercredi 28 Mai 2008 15:28
c vraiment cette ville (azemmoure) n'oubliez pas.je veux remercire mr rochdi et tous les gens(zamouris)
Azemmourien de 1949 Mardi 20 Août 2013 21:49
Que de fois, à l'instar de notre ami si Jamal, avons-nous, tous, espéré que notre ville bouge et que de fois avons-nous aspiré à ce qu'elle ait une meilleure vie. Néanmoins, les décideurs considérés demeurent en hibernation totale, comme si cela ne les concernait point. Depuis belle lurette, les habitants de la charmante AZAMA ne se lassaient guère de s'atteler, en vain, à des espoirs chimériques que leurs honorables élus puissent se réveiller un jour de leur torpeur, se départir de leur fainéantise et de leurs fantaisies sans limite, et penser à réaliser quelque chose de notable à leur profit, à même de se racheter de leurs erreurs monumentales qu'ils commettaient, et continuent de le faire, de jour en jour. Certes, "la hayata liman tounadi" (celui que tu appelles est déjà mort), tel est le cas pour notre maudit conseil municipal. A propos des membres locaux de ce dernier, je voudrais mettre à profit, des voeux formulés par des visiteurs de ce site qui souhaitaient que la ville d'Azemmour se mette au diapason des villes touristiques de fès et marrakech, pour leur répliquer ce qui suit. 1- d'emblée, ces deux villes, tout comme rabat, tanger et meknès, sont déjà des villes impériales de par leur histoire et leur patrimoine ancestral reconnu à l'échelle mondiale. 2- Marrakech, considérée aux yeux de la presse internationale spécialisée dans le domaine, comme étant la capitale mondiale du tourisme sans équivoque, tout d'ailleurs comme fès et rabat, dispose d'élus certes corrompus dans leur majorité, mais ils drainent toutefois des investissements colossaux, tant étrangers que nationaux. Ils bénéficient de pots-de-vin que ces investisseurs richissimes leur remettent en contrepartie de leurs services ; mais tout le monde est gagnant la-dessus (promoteurs immobiliers et hôteliers+élus+autorités locales et provinciales+habitants toutes couches sociales confondues avec génération de plusieurs emplois, amélioration des conditions économiques et sociales,etc.). Par contre, chez nous à Azemmour, ville nettement connue pour un revenu personnel journalier insignifiant sinon carrément inexistant pour la quasi-totalité de sa population active (je dis bien journalier et non quotidien, car quotidien suppose un revenu régulier de tous les jours, alors que journalier laisse déduire un revenu occasionnel et seulement saisonnier), les élus et les décideurs locaux ont affaire à des habitants qui, pour le moins qu'on puisse dire, vivent dans la nécessité impérieuse. Or, malgré cette caractéristique qui touche profondément voire douloureusement l'habitant d'Azemmour dans sa propre dignité, il existe audacieusement en parallèle des élus et auxiliaires d'autorité, sans scrupule aucune, vils et avides de gain rapide et illégitime, qui trouvent quand même l'audace et le courage inconditionné de soutirer avec voracité de l'argent aux administrés, déjà pauvres à l'extrême, en contrepartie de rien du tout. Ils le font le plus souvent par voie de chantages, pressions et autres actes malveillants et déshonorants. Que pourrions-nous aspirer de la part de responsables pareils? de décideurs capables de sucer, sans pitié ni clémence, le sang de pauvres gens qui peinent douloureusement et qui sont, indépendamment de leur volonté, incapables de les satisfaire dans leur soif d'autorité et leur avidité d'argent. Voilà, en vérité, l'une des principales raisons réelles du déclin de ma ville natale. Que pourraient faire de bien à leurs électeurs, des élus vauriens et ignares, même s'ils pouvaient se munir de la bonne volonté de servir?. Je viens de passer à ma belle cité Azama (elle restera belle et glorieuse en dépit de tout) une douzaine de jours consécutifs en compagnie de mon épouse qui se lamente, tout comme moi, du sort malintentionné que les décideurs ont voulu lui réserver avec véhémence et grand mépris. Nous avons été déçus, dès notre arrivée à la ville, par la persistance de l'obstacle que continue de générer l'établissement depuis déjà trop longtemps des égouts à travers l'avenue Med V, d'où un passage forcé par la route de la plage, celle de l'ancienne msallah, l'avenue de la massira et la route d'el jadida, etc. Aussitôt, nos bagages déposés à la maison, nous avons eu hâte d'aller faire à pied, nos provisions en denrées alimentaires et autres besoins domestiques nécessaires, que je préfère de coutume faire dans ma propre ville natale ; comme ça par pure nostalgie, et fort probablement par une sorte de curiosité positive de déceler éventuellement de nouveaux aspects de la ville, surtout après tant d'absence. Cependant, notre première déception s'est produite devant le premier épicier abordé, (sans racisme) un véritable chleuh, qui a longuement hésité, les mains toutes tremblantes, avant de se décider à nous emballer pourtant trois litres de lait dans un petit sac en plastique, d'ailleurs de très mauvaise qualité et de toute petite taille. J'avoue que ce n'est pas la première fois que cela m'est arrivé dans ma chère ville natale. J'en ai déjà eu, par le passé, trois ou quatre expériences pareilles avec d'autres épiciers chleuhs. Arrivés ensuite à hauteur du marchand de fruits (sans équivoque le plus cher au Maroc. Ce n'est pas la peine de citer son nom, tellement il est connu à l'échelon local et son attitude et son comportement se passe de tout commentaire, et ce n'est pas la peine non plus d'indiquer ce qui s'est passé dans sa boutique). Le comble, c'est lorsque nous sommes arrivés au niveau du marché (qui n'a réellement rien de marché sauf la dénomination que nos malheureux et malhonnêtes décideurs ont bien voulu lui attribuer pour le qualifier ainsi). Alors là, c'est l'anarchie totale, abondante, massive et insupportable. Un pêle-mêle de marchands ambulants de tout bord, de brouhahas agaçants, de divers genres de pollution, de marécages avec des odeurs nauséabondes engendrés par les vendeurs de poissons à l'étalage, d'entrave à la circulation sur la voie publique, d'insultes et injures beaucoup plus graves que péjoratives, de chamailleries sans raison valable. Je me suis demandé si vraiment je me trouvais à ma bien-aimée Azemmour et ce, tout en ressentant de la nostalgie envers nos commerçants locaux d'antan et aux gens si bien éduqués, à la vaste artère qui desservait régulièrement, et sans la moindre entrave à la circulation, toutes les régions du Royaume. Je me suis interrogé aussi sur les véritables raisons ayant amené à tolérer toutes ces pagailles sans raison convaincante. Et en toute connaissance de cause, j'ai incombé, sans hésitation aucune, tout ce dérapage intolérable et insensé aux décideurs (élus et autorités locales) qui, aveuglés par leur avidité d'argent, se sont avérés indéniablement incapables de gérer comme il se doit les choses publiques dans notre belle cité Azemmour. L'ordre ayant régné autrefois dans ma belle ville et le sens d'organisation dont savaient faire autrefois constamment preuve nos anciens décideurs ont été tout simplement bafoués par les présents responsables dont le souci majeur et primordial demeure l'enrichissement prompt et illégal, au détriment de tout ce qui est de nature à les mettre en valeur aux yeux de leurs élus. J'ai tout de suite dit : adieu ma belle blanche et propre, adieu nos chers valeureux commerçants d'antan, adieu l'environnement et le cadre écologique dont se targuait Azma autrefois, et j'ai rebroussé chemin avec mon épouses, tous deux déçus par ce tableau terne et désagréable, pour reprendre notre voiture et aller nous approvisionner à el jadida où la quiétude était quand même, plus ou moins, meilleure qu'à l'avenue Mohamed V d'Azemmour, la ville négligée sans le moindre remord de la part de ses décideurs irresponsables et inconscients de l'ampleur du mal et du tort qu'ils causent et à l'image de la ville et au bien-être de sa population. Puisse Dieu sauvegarder la dignité toute haute et intouchable de ma chère ville natale et lui procurer à nouveau son charme et sa beauté d'antan. Amine ya Rabbal 3alamine. A bientôt et à la prochaine.
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