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[4] Commentaires des visiteurs du site
Sauvez Azemmour Lundi 24 Juin 2013 16:54
tres belle photo merci Mr Jamal
Azemmourien de 1949 Dimanche 18 Août 2013 22:11
Et si notre fameux conseil municipal arrivait à avoir administrativement et territorialement la main mise sur toutes ses terres de la rive nord de l'oued Oum Er-rabiï (à droite comme à gauche) et ce, dans un cadre d'extension du périmètre urbain de la ville, à l'instar de plusieurs villes et centres urbains (appelés autrefois centres autonomes) du Royaume. Notre charmante et belle cité AZAMA se verrait ainsi mieux développée économiquement et socialement. Encore faut-il que nos pauvres décideurs se départissent de leur avidité d'argent et évitent d'encourager, de connivence et à dessein, d'éventuels spéculateurs de biens fonciers et immobiliers. L'intérêt primordial devrait être focalisé uniquement sur le bien-être de la ville et pas autre chose. Pour ce faire, il faudrait également établir un schéma directeur digne de la coupe architecturale de la ville, en vue d'y édifier des villas à étage unique, afin d'éviter de dissimuler et, partant, gâcher le beau paysage de l'entrée nord d'Azemmour. Il serait également souhaitable de veiller à une meilleure construction d'établissements scolaires (primaires et secondaires des deux cycles et pourquoi pas une cellule universitaire) ainsi que de terrains omnisports modernes avec des espaces verts et parcs publics convenables, à même de drainer la population à s'y rendre en masse avec leur progéniture pour un passe-temps merveilleux. Prévoir également l'édification d'un cimetière à aspect moderne valable pour un long terme, aussi bien pour les habitants de sidi ali benhamdouch et oulja (sidi hmida et sidi hammou) que pour ceux du centre urbain actuel, dont le cimetière touche à sa fin pour l'hébergement de nouveaux décédés, ne serait que bonne chose. Eh oui, il faudrait penser toujours à l'avenir. Cela ne serait pas un mal. A bientôt et à la prochaine.
Azemmourien de 1949 Vendredi 20 Septembre 2013 13:15
A mon arrivée à Azemmour en provenance de casablanca, la dernière fois, j'ai été témoin en plein jour de deux délits les plus graves que l'on puisse imaginer, sur ce pont. Le premier "crime" (je le conçois comme tel) était le stationnement de deux voitures de transporteurs clandestins, la moitié des véhicules sur le trottoir et l'autre en pleine chaussée, tout à fait au milieu du pont, entravant ainsi d'une manière on ne peut plus fâcheuse et intolérable, la circulation et des usagers de voitures dans les deux sens et des piétons, acculés à emprunter contre leur gré la chaussée goudronnée et ce, devant les yeux d'un agent de police, de surcroît de la circulation, lequel ne pouvait nier leur observation, dès lors qu'il se trouvait positionné au bout du pont. Je n'en croyais pas mes yeux devant ce forfait criminel, tellement je n'envisageais point quelqu'un capable de commettre de telle mascarade. Le deuxième forfait, alors là c'est le comble de l'anarchie et du bordel, consistait en la présence d'une voiture, certainement d'un des transporteurs clandestins, sur la moitié gauche de la chaussée à partir de la ligne médiane, en direction de casablanca, précisément entre le petit palmier au trottoir et le poteau à côté des enfants que vous voyez sur la photographie. Ce qui m'a suffoqué le plus, c'est la présence au niveau de ce même palmier d'un agent de la circulation qui ne se gênait pas dans sa discussion avec ce conducteur de véhicule (fort probablement en train de discuter le tarif d'une transaction), m'acculant à demeurer pendant un bout de temps arrêté en face de ce véhicule contrevenant, lequel n'a bougé de cet endroit qu'à la suite de mes klaxons insistants, pour traverser la route en diagonale en direction du pont. Je vous jure que j'ai dû pleurer le sort de ma ville et me lamenter de celui des gens paisibles et tranquilles, envahis par cet énergumène de policiers et de cette espèce de "chauffards" de transport clandestin. Je me suis retenu, non sans hésitation, d'aller porter plainte au commissariat à deux pas pour ces deux forfaits véhémentement reprochables. Je ne l'ai pas fait, non pas par enfreinte à mon devoir de citoyen qui connaît parfaitement ses droits et ses devoirs, mais plutôt je voulais d'une part passer inaperçu dans ma ville natale, et ensuite épargner à ce maudit policier sans conscience et avide d'argent ainsi qu'à ses supérieurs vils et également assoiffés de pouvoir et d'argent, des problèmes dont ils risquaient de les payer assez cher. mon Dieu, pourquoi est-ce que la vilenie pousse-t-elle ces responsables de la sécurité des citoyens "ya hasra" à commettre en flagrance de tels délits ; leur souci majeur étant d'empocher de l'argent et rien de plus. Je te plains ma belle cité et mon idole. On dirait que tout le monde trouve son plaisir à s'acharner contre toi. Je m'interroge avec amertume sur le soi-disant rôle de ces correspondants de la presse qui, au lieu de s'intéresser à ce genre de contravention à la loi avec photographies comme preuves à l'appui, préfèrent s'attaquer à des personnes physiques dans le but unique de les arnaquer. Pauvre de toi ma bien-aimée! Puisse Dieu Le Tout Puissant te réserver un sort meilleur à l'avenir et t'épargner le manque de respect "kallet lahya" et la non éducation "3adam trabi" de tes décideurs et de leurs subalternes. A bientôt et à la prochaine.
Azemmourien de 1949 Dimanche 15 Juin 2014 16:48
J’ai beaucoup réfléchi quant au bien-être de notre idole AZAMA la victorieuse et suis sorti, en fin de compte, avec le résultat suivant : pour que la ville historique d’Azemmour s’épanouisse, comme bon nombre de villages et de bourgs d’antan l’ont fait et si rapidement d’ailleurs, il s’avère nécessaire, voire vital, que les communes rurales de sidi ali ben hamdouch, des ouled rahmoune et d’el haouzia s’annexent au périmètre urbain de ce pachalik, dans le cadre de l’extension de son périmètre urbain. C’est vraiment le seul moyen à même de voir notre ville bien-aimée s’accroître et s’élargir, à l’effet de son développement amplement escompté. J’estime, à mon sens, que c’est une vision légitime qui n’affecterait en rien l’essor des trois communes précitées, dans la mesure où les efforts de ces dernières, concentrés et conjugués avec les aspirations prometteuses de la population d’Azemmour, aboutiraient inéluctablement à des résultats satisfaisants. Encore faut-il que les gestionnaires, au niveau de cette ville antique, soient armés d’une bonne volonté de bien servir leur électorat. Bien au contraire, nous verrions renaître ainsi une agglomération harmonieusement solidifiée par des projets de forte taille, susceptibles de donner certainement à l’ensemble, l’aspect d’une future grande ville avec ses caractéristiques spécifiques à la région. Son emplacement et sa situation géographique à proximité du pôle économique Casablanca, restent de nature à lui permettre de s’ériger une place notable et prometteuse sur l’échiquier socio-économique dans le Royaume. Pour ce faire, cela ne demanderait nullement des efforts colossaux, sauf juste une bonne volonté d’agir dans le bon sens et de faire preuve de jalousie réelle quant au patrimoine ancestral de la ville. Aussi, celle-ci recouvrerait, entre autres acquis importants, sa plage saâdia d’antan (actuelle haouzia), le site estival et balnéaire de mazagan, la station de péage de l’autoroute au niveau de l’entrée-est de la ville… et ce, lorsque le pacha d’Azemmour était autrefois lui-même le chef de cercle. Par ailleurs, à propos de ‘’sidi ali ben hamdouch’’, il y a lieu de signaler que le sanctuaire réel de sidi ali ben hamdouch se trouve implanté dans la région de Meknès, plus précisément à la tribu des Béni rachid (le lieu initial de la zaouia de la confrérie des ‘’hmadcha’’ à travers le Maroc), à trois kilomètres seulement de la ville de Meknès sur la route de Fès. A bientôt et à la prochaine.
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