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[2] Commentaires des visiteurs du site
Azemmourien de 1949 Dimanche 15 Septembre 2013 20:35
Jolie prise de vue, si ce n'est cette restauration très moche et chaotique de ces remparts menaçant ruine. Avez-vous lu quelque part dans l'histoire que les portugais construisaient leurs bâtisses, dont particulièrement les remparts, à l'aide de briques et avec des fenêtres à cadres ou faux cadres en bois? Quelle idiotie! Quelle bêtise monumentale! Quelle catastrophe! Quelle exiguïté d'esprit! Quel massacre! Quelle ignorance! Pour ma part, je conseillerais de bonne foi et sans arrière pensée ni but lucratif de quelque nature que ce soit, à nos conseillers de présenter collectivement et promptement leurs démissions de leurs fonctions ; tellement ils se sont montrés ignares et incapables de gérer la chose publique de la ville. Ainsi, ils feraient preuve de courage et de pragmatisme. Cela me décourage à compulser davantage le beau site de notre brave si Jamal. Seule la confiance que je place personnellement en lui quant à son bon goût pour la photographie, son dynamisme exemplaire et son militantisme louable pour la cause de notre AZEMMOUR bien-aimée, qui m'incite à feuilleter les pages de ce site chaque fois que l'occasion se présente pour moi. A bientôt et à la prochaine.
Azemmourien de 1949 Jeudi 27 Mars 2014 13:47
J'ai longuement contemplé cette photographie, pour en déduire en fin de compte que son aspect bohémien laisse croire à un "bouhali" qui se néglige et se trouve par voie de fait livré à lui-même sans la moindre préoccupation humaine quant à son sort. On dirait un crapuleux "jean valgent", insipide et encore plus sale que le personnage de l'écrivain français du 18ème siècle François Marie Arquet alias "Voltaire" dans son chef-d'oeuvre "les misérables". Toutes les composantes de ce tableau portent également à croire à un genre de "hyppie" laissant pousser à outrance par le fait de négligence ses cheveux malpropres, voire crasseux : les édifices (tour portugaise et habitations menaçant ruine...), la restauration mal opérée par un conseil communal ignare hors paire ainsi qu'une végétation sauvage et sans le moindre soin de la part des décideurs locaux dont le patrimoine culturel ne leur signifie rien du tout et constituerait fort probablement le dernier de leurs éventuels soucis, si vraiment souci il y a. Voilà le peu de ce que je ressens réellement avec grande amertume et désolation envers cette partie du patrimoine ancestral dont ma bien-aimée AZAMA devait en principe se targuer, aspirant à un rang supérieur parmi les villes antiques et historiques du Royaume. A bientôt et à la prochaine.
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