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Azemmourien de 1949 Mercredi 01 Octobre 2014 12:41
Je parie que l'actuel propriétaire ou occupant par voie d'héritage ou autre (je dis bien actuel, car un ancien ne commettrait jamais ces bêtises, même s'il venait d'atterrir du monde rural) est un membre du conseil communal ou un proche-parent d'un conseiller communal d'Azemmour. Ou bien -le cas échéant- quelqu'un qui s'est vraiment inspiré de la façon géniale de faire de notre humble commune qui se veut se dénommer faussement, voire injustement "urbaine" (mon oeil, bezzaf 3lihoum l'urbain oualla hatta l'urbanisme) pour se livrer de la sorte à de telles sottises ("a lamzoua9 men barra, yâlem Allah ach khbarek men ldakhel?"). Le goût de cet occupant de la demeure que l'on voit sur la photographie, ressemble parfaitement et ne différencie en rien de celui de nos conseillers de malheur. Tenez, faites vous-mêmes le constat de ces idioties. Remarquez : 1- la manière, la position et la hauteur de la pose de la lampe électrique ainsi que son emplacement sans hublot, 2- l'emplacement et la hauteur du carreau en faïence indiquant le numéro de la maison, 3- la quantité et la qualité du fer forgé ainsi que sa façon de faire devant constituer un obstacle gênant pour le vol du compteur électrique de la Radeej, 4- le renforcement et la consolidation -à l'aide de je ne sais quoi comme matière- du mur se situant à la sortie droite de la porte d'entrée à la demeure, etc. Par conséquent, je fais assumer pleinement la responsabilité au conseil communal, notamment pour deux choses fondamentales ; à savoir : son manquement à ses devoirs et responsabilités de laisser la pagaille et l'anarchie se propager aisément dans la gestion de la chose publique locale, d'une part et de donner le mauvais exemple aux citoyens dans la manière et la façon de faire en général, d'autre part (les preuves ? Ce n'est pas ce qui manque ; j'en cite entre autres : la restauration moche et on ne peut plus insupportable à tolérer des remparts et et des tours portugaises, l'édification de la berge au long de la rivière, la fixation sur les murailles des remparts de câbles électriques et les pancartes et banderoles de publicité arborées en fixation sur ces remparts, ou zid ou zid, haddith oua la haraj). Est-ce avec ces façons de faire que l'on aspire à rééduquer et à raffiner les goûts et penchants de citoyens -produit de l'exode rurale- venus s'installer à la ville d'Azemmour? cela fait également partie de la mission culturelle incombant aux conseillers communaux. Cela m'étonne bien que ces derniers soient vraiment conscients de ces finalités. A bientôt et à la prochaine.
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