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[3] Commentaires des visiteurs du site
AE Dimanche 04 Septembre 2005 19:51
Un exemple de la dégradation …que la vitrine qu’on voit …l’intérieur je pense que ca n’existe plus …espace d’accumulation des ordures si non elle est transforme en « squat » par des gens issues de l’immigration rurale a la recherche du travail dans les quelques fermes agricole qui résistent encore !
hamzaouiabdeladim Dimanche 06 Septembre 2009 12:54
la porte fermée pour toujour c'était une maison du Makhzane appelée "DAR'ADKA" ce est originaire de l'arabe "AL HADKA" alors à l'époque le colonialiste français trouve une très grande difficulté de prononcer la teminologie arabe alors au lieu de dire "Alhadka" il la déforme en "AD'ADKA".quel role jouait cette maison d'hote?elle jouait son role juqu'au fin des années 60.
Azemmourien de 1949 Lundi 30 Décembre 2013 22:45
Contrairement à ce qui se passe de nos jours, et eu égard au manque de liberté d'agir, par respect bien sûr pour la partenaire, son entourage et sa famille, deux jeunes amoureux trouvaient à l'époque beaucoup de peine à converser, à se voir même, encore moins à se rencontrer. L'occasion de cette évocation a été générée par cette artère que l'on voit sur la présente photographie. Cela me rappelle une des méthodes draconiennes qu'utilisait jadis un couple de jeunes amoureux à Azemmour qui commençaient à partager, à leurs débuts, les mêmes sensations d'amour, pour s'échanger des lettres, par exemple . Pour ce faire, et comme convenu au préalable entre les deux, le jeune empruntait cette descente de rue et une fois arrivé à hauteur de l'arcade, il jetait subtilement et discrètement sa lettre au niveau de la porte (fermée pour de bon) que l'on voit en face ("dar dka") et continuait tout droit son chemin comme s'il ne se passait rien. Au même moment, sa bien-aimée montait la rue, généralement accompagnée de son amie la plus confidente, et une fois arrivée au niveau de cette porte, elle prétextait une entorse ou feignait une cause similaire pour se caser rapidement au pied de cette maison et récupérer ainsi discrètement la missive tant attendue, avant de poursuivre son chemin sans même daigner jeter un regard à son cavalier, faisant semblant de ne pas le connaître, dans un but unique de s'épargner l'alarme d'un passant curieux qui pourrait porter atteinte à sa renommée et à celle de sa famille. Vous convenez sans nul doute avec moi que les jeunes couples d'autrefois souffraient dans leurs relations intimes, pourtant vécues dans le sérieux indéniable de part et d'autre. Cependant, c'était la belle époque, empreinte d'honnêteté et de fidélité exemplaires. En fait, chaque coin de la belle cité AZAMA, la ville des premiers amours par excellence, représentait autrefois toute une histoire sensationnelle, tout un événement heureux et ce, en dépit de la délicatesse des choses et des conditions. A bientôt et à la prochaine.
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