MyBouchaib
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  Cote-sidi-ouadoud
C'était une noria..  
[9] Commentaires des visiteurs du site
mekki Samedi 31 Mai 2008 00:36
la photo est prise de derb ducret ou pam
hamzaoui abdeladim Samedi 05 Septembre 2009 20:58
non! non! et non mekki!écaquille un peu les yeux la villa sur le premier plan c'est "dar al mohandiz=dar al moukalaf bittorok=Haj Jamali allah ira'hmou)entièrement impossible de la voir entière ni de PAM ni de derb duckret.cette photo est prise du coin droit du trotoire droit de Bvd.Alm massira juste du coin du café Assf...et pour te rassurer regarde à gauche de la photo ce qui est apparut en partie en blanc c'est le batiment Arais.et tout ça pour te mettre Mr M'kiki sur la bonne voix.
daab-fx@fx-daab.com Dimanche 28 Novembre 2010 01:11
ah ! la ville 2 fois sainte et l'une des premiéres municipalités au maroc et parmi les villes les plus anciennes au monde . c'était d'abord Izem avant d'être appelée Azama par les portugais puis maintenant Azemmour et à tous ceux qui ne connaissent rien au suijet d'azemmour je leur conseille de lire le haouz de marrakech de paul pascand et des tas d'écrits sur azemmour . Azemmouris soyez fiers
de votre ville et vive AZEMMOUR . Mr Hamzaoui Abdeladim et trés cher ami vous avez raison cette photo est prise du Bd El Massira .
khaldi khalil Dimanche 05 Décembre 2010 17:07
bonjour hamzaoui votre nom me dit qq chose je pense qu on etait copin de classe bonjour tous mes amis voir azemmour et mourir
mekki Samedi 11 Février 2012 01:12
merci hamzaoui j'ai commenté faut pour savoir est ce qu'il y a vraiment quelqu'un à l'écoute ou pas,je suis ould derb ducret KABIL?et merci encore de l'importance que tu porte sur ton dos comme tous les vrais AZEMMOURIS(IES) merci encore à tres bientot
Azemmourien de 1949 Jeudi 06 Février 2014 18:07
L'état délabré du cimetière jouxtant le mausolée de Moulay Bouchaïb m'a énormément chagriné. Autrefois, ce patrimoine était constamment verdoyant et propre; ce qui lui donnait une certaine vivacité qui ne manquait pas d'inspirer plus d'un poète amateur parmi nos anciens camarades de classe du primaire, tels que Mustapha alias "sosso" (de derb abda) et Abdellah Bouâbdalli alias "kayss" (de derb abdeljalil), à titre non limitatif. En effet, ce lieu originel ayant été fatalement négligé et dont un coin non négligeable, en sus de ses alentours, sert hélas de dépotoir pèle-mêle d'ordures domestiques et autres, constituait, par le passé, un "refuge" de divertissement pour les adolescents amoureux de jadis. L
Azemmourien de 1949 Jeudi 06 Février 2014 18:51
L'état délabré et délaissé des lieux, particulièrement le cimetière attenant au mausolée de Moulay Bouchaïb, m'a énormément chagriné. Cet endroit originel qui était constamment verdoyant durant les quatre saisons de l'année, ne manquait pas d'inspirer plus d'un poète amateur parmi nos anciens camarades de classe du primaire à l'époque, tels que Mustapha alias "sosso" (de derb abda) et Abdellah Bouâbdelli alias "kayss" (de derb abdeljalil), qui composaient des merveilles en poésie. Fatalement négligé, à telle enseigne que plusieurs coins de ce cimetière -en sus de ses alentours- servent actuellement de dépotoirs pour ordures domestiques et autres, sous le silence complice des gestionnaires de la chose locale publique, il constituait -par le passé- un lieu de retrait sentimental en solo (sans partenaires bien sûr, compte tenu du respect mutuel qui caractérisait les relations intimes des couples), voire de "refuge" en solitaires pour adolescents amoureux de jadis, tellement la verdure ornait magnifiquement les parages ; ce qui donnait lieu à rêver et ce, de la manière la plus romantique qui puisse exister. Je voudrais, par la même occasion, inviter les chers visiteurs du site à fixer leur regard sur la couleur grisâtre du ciel, pourtant si clair et si limpide même en automne, et imaginer la verdure d'autrefois couvrir entièrement le sol des lieux, offrant ainsi un cadre agréable, approprié à toutes sortes d'imagination, infantile soit-elle ou adulte. Cette prise de vue incarne bien l'automne farouche (des êtres humains) ayant frappé sans pitié ni répit notre idole AZAMA, la bien-aimée, de par les massacres et les préjudices commis au détriment de la ville, de son patrimoine et de ses habitants par les décideurs actuels, lesquels demeurent -par ignorance comme par désinvolture- loin d'être à la hauteur des aspirations de la population. Par ailleurs, le thème traité par la célèbre cantatrice Oum Kalthoum dans sa chanson "Atlal", en dehors de son contexte amoureux, concorde bien avec l'état des lieux à Azemmour en général. Cette photographie triste et morose illustre clairement la dégringolade et le déclin de la ville. Allah m3ak ya bladi lahbiba. Allah Ykoune lik Wali oua Nassir. A bientôt et à la prochaine.
Azemmourien de 1949 Samedi 27 Septembre 2014 23:52
Ce matin du samedi 27.9.2014, j’ai eu encore une fois à faire forcément une comparaison entre le cimetière du douar lahbichate, situé à une dizaine de kilomètres de la ville de Marrakech (sur la route de l’ourika) relevant de la commune rurale de tasseltanet et celui de la ‘’ville’’, voire du ‘’pachalik’’ (ya hasra) d’Azemmour. Pour être objectif et pragmatique, eu égard à ce que j’ai eu comparativement à constater de visu et personnellement, la logique veut que j’écrive Lahbichate avec un ‘’L’’ majuscule et azemmour avec un ‘’a’’ minuscule. Néanmoins, mon égoïsme et mon amour fou pour ma ville d’origine qui mérite tous les éloges en dépit de son sort malheureux, m’en ont empêché. Bref, devant participer à des obsèques d’un défunt dont les proches ont voulu qu’il soit enterré dans le cimetière en question, j’ai pris part à l’inhumation de cette personne dans un cimetière, de loin meilleur à celui d’Azemmour, se situant pourtant dans un douar à la campagne. En effet, c’est un lieu assez large au point de vue superficie, très propre, disposant d’une clôture honorable faite à l’aide de ciment et de pisé dans un cadre et un décor tous deux harmonieux, en plus d’une partie joliment asphaltée à l’accès sud du cimetière, elle-même bellement clôturée et réservée à la prière en la circonstance. Devant cette situation, j’ai longuement hésité à faire, non sans amertume, la comparaison entre les prestations des gestionnaires de la commune rurale de Tasseltanet et de leurs homologues de celle (faussement déclarée « urbaine ») d’Azemmour. Je vous invite à aller faire un saut tout au tour du cimetière de My Bouchaïb, particulièrement au niveau du quartier al amal, pour être réellement au fait de la clôture catastrophique de cet édifice et ce, au mépris du respect devant être observé à l’égard de nos morts ainsi que des ordures nauséabondes et toutes sortes de saleté. Et dire qu’un individu parmi les proches du défunt, méconnaissant -sans nul doute- l’état déplorable actuelle de ma vie natale, me voyant en quelque sorte en une certaine espèce d’élégance azemmourienne (de jadis), s’est excusé auprès de moi de la situation de leur cimetière, qu’il jugeait -injustement- probablement en deçà des normes, croyant que le nôtre devait être, en son sens, nettement meilleur. En réplique, j’ai eu silencieusement honte de moi (plutôt de notre cimetière) et je me suis retenu par orgueil de fan d’Azemmour, de lui dévoiler la réalité qui implique que leur cimetière est de loin meilleur, à tous points de vue, que le nôtre ; et que c’était en fait à moi de m’excuser humblement auprès de lui quant à la situation dégradante de ma ville toute entière et non seulement de celle du cimetière de celle-ci. A bientôt et à la prochaine.
Azemmourien de 1949 Dimanche 28 Septembre 2014 14:02
Je voudrais revenir à ce beau cimetière de douar Lahbichate qui m’a marqué, un bel espace de campagne regroupant tout ce qui est fantastique et dépassant de loin le nôtre à Azemmour (tant sur les plans superficie, édification, cadre, que verdure,…), tout en me demandant pourquoi est-ce les ’’bienfaiteurs’’ dans notre ville (si ma foi il en existe un) se révèlent aussi avares que réticents, n’en font pas de même. Pourtant, ceux dudit douar (sur la route de la vallée de l’Ourika aux alentours de Marrakech) sont apparemment de situation très modeste, sinon pauvre (ils sont pauvres en termes de budget, mais riches en noblesse de cœur). En effet, une fois de retour au douar Lahbichate, après la cérémonie des obsèques du défunt, nous avons été tous accueillis, les habitants dudit lieu compris, avec une hospitalité exemplaire, de la part des voisins qui s’étaient occupés de tout, jusqu’au dernier détail. Le tout y était soigneusement parfait: causerie religieuse instructive autour de la tombe pendant l’inhumation, chaleur d’accueil, bon service assuré par des volontaires parmi les voisins, solidarité inégalable, etc. En dépit de la modestie et de l’étroitesse des maisonnettes, construites pour la plupart en pisé. Cela m’a grandement impressionné, comparativement à une occasion pareille dans le courant de l’année 2007, à laquelle j’ai eu à assister à des funérailles au quartier el amal à Azemmour. C’était vachement dépourvu de tout sens de solidarité et de savoir faire ; un désintéressement total quoi ! Cet état de fait (d’Azama, en comparaison avec celui de lahbichate) m’a rappelé l’attitude séculaire des voisins d’antan à la belle cité d’Azama, qui se chargeaient complètement -pendant les trois premiers jours- des préparatifs des obsèques de A jusqu’à Z, à la place des membres de la famille concernée, afin de leur laisser la latitude de recevoir en piété les gens venus leur présenter les condoléances et ce, avec une solidarité remarquable. C’était le bon vieux temps. A propos, j’ai remarqué que contrairement au passé, cette attitude négative n’existe en réalité que chez nous actuellement à Azemmour, à l’exception relativement peut-être de quelques familles, notamment à l’ancienne médina. Aussi, j’aspire à ce que les habitants d’Azama recouvrent toutes les anciennes coutumes de leurs ancêtres et retrouvent les us (al 3adate oua al a3raf) de leurs grand’ parents azemmouriens. C’était autrefois des choses merveilleuses ! A bientôt et à la prochaine.
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