la-poste
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  bab-Elmakhzen
Enregistré le : Mardi 16 Octobre 2007
Dimensions : 883*561
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note : Aucune note
Catégories : Azemmour−General
le-souk  
[7] Commentaires des visiteurs du site
ROCHDI NOUREDDINE Jeudi 29 Novembre 2007 18:52
La première poste au Marocse se trouve à Azemmour.
Abderrahim.fak Jeudi 08 Mai 2008 00:20
c'est la mosquée ZITOUNA jouxtant le dispesaire " goutte du lait " qui existait à l'époque.belle vue , de l'autre côté , il 'y'avait le marché de la ville et juste enface , des épiceries traditionnelles, elles n'y sont plus ....hélas
mjid smara Dimanche 28 Juin 2009 21:57
peu de gens savent qu'azemmour est l'une des premiéres municipalités du maroc et par conséquent cette poste est la plus ancienne au maroc
Hamzaouiabdeladim Vendredi 28 Août 2009 00:11
Azemmour était ville autonome!dont tampan sur un document saisi fait foi.La seule ville du Royaume où l'abattage de la vache,la génisse ou la velle ( toutes les femelles de l'espece bovine)est fomellement interdit par un DAHIR visiriel(ROYAL)!! et c'est aussi le cas pour l'espece ovine ( pas d'abattage ni de brebis ni d'agnelle).
Azemmourien de 1949 Lundi 14 Octobre 2013 14:33
Ce qui a attiré mon attention sur cette très belle photographie, c'est la première boutique en vert que l'on voit à droite, juste à côté de celle de feu lhaj Lhoucine Chouay. Eh bien, cette boutique abritait un joli salon de coiffure qui était exploité autrefois par feu Hassan (le nom patronymique m'échappe) qui incarnait en sa personne un véritable chef-d'oeuvre azemmourien. Il ressemblait de son vivant au chanteur libanais (naturalisé américain) feu Ouadiâ Essafi. Bien qu'il fusse petit de taille, ce charmant Hassan, bel homme très élégant, était plus beau et plus charmant que ledit chanteur. Nous nous approchions de son salon, pavoisé à l'époque de belles fleurs et roses et de très jolies cages d'oiseaux dont des canari, dans les années 50-60, pour l'écouter chanter à merveille des chansons classiques de Mohamed Abdelouahab, Oum Kalthoum, farid El Atrach, Smahane, Faïrouz, Abdelhalim, Ahmed El Bidaoui. Il s'attelait avec une large finesse et grande élégance insigne à s'habiller comme un prince, que ce soit en tenue vestimentaire moderne ou traditionnelle, s'attachant avec soin à marier comme il se devait les couleurs de ses habits et ce, en parfaite relation avec les différentes saisons de l'année. C'était en fait un grand seigneur, un véritable gentleman qui honorait, tout comme un grand nombre d'azemmouriens à l'époque, notre belle ville. Il prenait place, lorsqu'il était libre , juste devant cette vitrine de son salon à droite pour prendre ses petits verres avec douceur remarquable (Allah yaghfer lana oua lah), tout en écoutant avec attention particulière ses chansons préférées à la radio. Il se faisait remarquablement distinguer à l'époque, par sa parfaite récitation du Coran avec le port soigné de djellaba, jabadour et pantalon kandrissi lorsqu'il se rendait à jamaâ zitouna tout près de son salon et la parfaite récitation des chansons classiques. Je vois encore ses dents blanches, rectilignes et régulièrement propres. A bientôt et à la prochaine.
Azemmourien de 1949 Lundi 07 Avril 2014 21:17
La ville d'Azemmour était autrefois largement embellie par toutes sortes de verdure et de belle végétation. Vous constatez avec moi que ce n'est plus malheureusement le cas de nos jours. A qui incombe donc la responsabilité de cette méchante carence? On ne voit plus -à titre indicatif et non limitatif- d'arbres mimosas qui jalonnaient jadis splendidement toutes les allées à travers les champs dans la banlieue de la ville. Au centre de la belle cité AZAMA, il y avait un assemblage parfait, insigne et notable d'arbres fruitiers et autres et ce, tout au long de l'ensemble des artères des quartiers. En fait fois, ce nombre d'arbres (quoique peu dans la prise de vue) en dessous desquels les commerçants et les employés prenaient autrefois tranquillement place pour y déguster sous l'ombre et à bon escient des boissons rafraîchissantes pendant l'été et de bonnes théières bien chaudes en hiver. La verdure représentait bien de la valeur et avait de l'importance pour la population azemmourienne. A qui implorer et réclamer ce manque écologique et culturel? Voilà un exemple frappant de la culture, par exemple, pour les décideurs qui ne le savaient pas et qui voudraient en tirer les enseignements qu'il faut. Cela va vachement mieux que toutes les "semaines et quinzaines" réunies de la municipalité, qu'elle organise fallacieusement voire tendancieusement sous une pseudo-optique culturelle. A bientôt et à la prochaine.
Azemmourien de 1949 Vendredi 30 Mai 2014 19:55
"Jama3 azzaïtouna" signifie beaucoup de choses pour nous, anciens azemmouriens, dans la mesure où la plupart d'entre nous ont eu à apprendre, parfois dès leur enfance, les premières notions rudimentaires des cinq prières quotidiennes ainsi que celles dites d'attaraoui7 pendant le mois sacré de Ramadan. J'aurais beaucoup aimé que les décideurs au niveau du nidarat des habous se penchent sérieusement sur le cas de ce lieu de culte et pensent à le rénover et l'agrandir en y joignant notamment la bâtisse ayant servi, par le passé, de dispensaire de santé, ainsi que le passage entre ladite mosquée et le siège de la poste, dès lors que ce dernier dispose déjà d'un accès confortable entre lui et la boutique de haj Lhoucine Chouay. Or, mettre fin à l'usage de la porte secondaire de la poste se situant en face de la seconde porte d'accès à la mosquée, n'entraverait nullement la bonne marche de ce service public. Il va falloir, dans ce contexte, réfléchir également à restaurer l'ensemble de la mosquée dans un plan architectural à la fois authentique et moderne, à même de faire en sorte à réhabiliter la vision des fidèles d'Azemmour qui pâtissent énormément de carence de lieux de culte à la hauteur de cette ville antique. Les travaux de réfection et de rénovation pourraient être entamés par étapes progressives, sans pour autant constituer une gêne pour les fidèles dans l'accomplissement de leurs prières régulières. Bon courage! A bientôt et à la prochaine.
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