vuejardincentre
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  azemmour-vue12
Enregistré le : Mardi 06 Mai 2008
Dimensions : 1200*770
Fichier : vuejardincentre.jpg
Poids : 115 KB
visité : 11766 fois
note : 5.00 (1 Notes, STD : 0.00)
Catégories : Azemmour−General
bab-Elmakhzen  
[7] Commentaires des visiteurs du site
FARJAOUI ABDELKAD Mercredi 14 Mai 2008 10:56
Azemmour est une ville de toutes les saison et couleures de toutes les époques et à la porté de tous...Tout le monde peut ceuillir ces aventages à pleines mains sans fixer de mesures à l avance et de les preserver avec delicatesse..Souvent il suffit d une parole ,d un regard, d un petit tour dans les ruelles ou plutot d un geste pour que le bonheur comble le coeur de celui qui aimera cette ville
demnatiya!!! Samedi 17 Mai 2008 14:08
j'aijamias visité cette ville mais j'aimerai bien venir incha allah pourquoi pas elle me plait bcp avec ses jardins son mer et tout.vive maroc pour toujours good bye.
Abderrahim Fak Mercredi 16 Décembre 2009 18:29
salut à tout le monde qui vit à azemmour d'origine ou rrésident , je suis heureux à chaque rencontre avec cette ville à laquelle je suis très attaché , soit en visite soit par ce moyen d'nternet ,je vois maintenant au fond de cette photo un arbre qui se tient debout comme unne gratte ciel , il a grandit ou peut être que moi qui ai grandis à côté de lui , je le voyais depuis les premiers jours de ma vie , car il est situé dans un jardin jouxtant la demeure de mes parents. A présent c'est toujours la plus belle oeuvre qui me séduit à chaque visite à cette ville , bravo au photographe et merci pour ce travail.
Abderrahim Fak Dimanche 22 Mai 2011 19:50
là bas au fond un arbre qui se tient debout , calme et quiet , oriente la vision vers un passé très paisible , il est limitrophe à la maison parentale , où j'ai passé mon enfance avec d'autres amis du quartier , c'est rare que je les rencontre maintenant , ou plutôt à chaque visite que j'y effectue , mais il y' a on a encore d'autres qui sont là , ils sont très attachés à cette pittoresque ville aussi séduisante que malheureuse, des gens que tu peux sentir la pauvreté dans leurs yeux , leurs regards qui prônent la misère et l'indigence, ces gens là qui ont choisi de rester en dehors du jeux , aller ( houita houita) c'est vraiment une insouciance et un désespoir inédit....à suivre.
Azemmourien de 1949 Mercredi 05 Février 2014 19:36
A propos des "jardins" évoqués par la chère visiteuse (demnatiya!!!), laquelle semble ignorer totalement la réalité de ce qui se passe à l'heure actuelle à Azemmour, comptant pourtant une civilisation ancestrale et ancrée dans les us et coutumes des familles autochtones, mais ne disposant malheureusement que de deux minables pseudo-jardins publics, je voudrais poser aux décideurs de cette ville, la question légitime et logique de savoir ce que cela pourrait leur coûter en termes de budget et d'efforts psychiques, physiques et énergétiques, s'ils avaient pensé à ériger une jolie fontaine (lumineuse, pourquoi pas?) au milieu de ce jardin que l'on voit sur la photographie, au lieu de ce symbole sourd et muet qui semble ne signifier fort probablement rien quant à l'histoire d'AZAMA, la romantique. Et si cela exprimait, au regard des décideurs locaux, quelque chose comme emblème, que nous ne parvenons pas à discerner ni à déceler, la place judicieuse et appropriée pour ce genre de ''logo'' serait alors mieux à chaque accès à la ville. Il leur appartiendrait également de songer à y : 1-planter un genre d'arbres particuliers à la région en général et à la ville en particulier (ce n'est pas ce qui manque d'ailleurs), 2-envisager de planter aussi des roses et des fleurs de toutes les couleurs, en formes géométriques insignes, 3-instituer un éclairage parfait et efficace quant à la portée, qui va de pair avec ce type de parc public, tant sur le plan hauteur des poteaux (devant atteindre les 6 mètres, comme ce qui a été maladroitement planqué sue le pont ; or le genre et la taille de l'éclairage décidés au parc, serait adéquats avec le pont), que sur la couleur des lumières (devant porter sur le jaune au lieu du blanc). Mais, pourquoi donc est-ce que les décideurs à Azemmour voient toujours les choses à l'envers? Est-ce cela leur culture? ou alors leur vision des choses? 4-accroître le nombre de bancs à travers le jardin, 5-changer la clôture du jardin, en optant pour le fer forgé bien façonné, qui porterait des motifs significatifs devant refléter les traditions de la ville et qui serait peint en vert wagon, en harmonie avec la verdure devant englober tous les côtés du parc, 6-retracer avec symétrie les composantes du jardin, 7-penser à revêtir le sol des allées avec du marbre dont la couleur serait assortie avec l'ensemble du cadre. Voilà ce que l'on appelle communément répondre positivement aux attentes de la population et faire de son mieux afin d'être à la hauteur de ses aspirations. A bientôt et à la prochaine.
Azemmourien de 1949 Vendredi 06 Juin 2014 14:06
Lors de mes derniers passages à Marrakech, ville ocre et fantastiquement belle que j’aime beaucoup, en second lieu après Azemmour bien sûr, j’ai eu à faire des remarques à certains gardiens de villas qui ne trouvaient aucune gêne à gaspiller sordidement de l’eau pour, soit laver les voitures de leurs patrons, soit ‘’balayer’’ le parterre de ces villas ainsi que toutes leurs dépendances, y compris l’extérieur des trois ou quatre façades latérales, des fois d’une longueur de 50 à 60 mètres chacune, avec uniquement de l’eau à l’aide de grands tuyaux qui éjectent des débits considérables à la seconde. Je dis bien balayer, mais sans balais (le tuyau fait bien l’affaire à leur sens), se contentant de l’eau simple pour cette besogne, qu’ils pratiquent quotidiennement (une fois par jour, si ce n’est pas deux fois). Je ne m’empêchais pas de faire savoir à ces gaspilleurs farouches de cette denrée combien vitale et coûteuse qu’est l’EAU, qu’en agissant de la sorte, ils bousillent la nappe phréatique sans aucune raison valable, pendant que d’autres citoyens trouvent –de nos jours- énormément de difficultés juste pour boire, eux et leur bétail, à seulement une quinzaine de kilomètres de leur ville, sans avoir à parler des populations des zones pré-sahariennes et de leur cheptel qui pâtissent douloureusement de la carence de l’eau. Etant pleinement convaincu que j’accomplissais mes devoirs religieux et de bonne citoyenneté, je me suis juré d’en faire autant à Azemmour, si j’arrivais à constater des agissements pareils. Néanmoins, j’ai été à la fois satisfait et déçu du comportement de la population de notre bien-aimée AZAMA et de ses gestionnaires : 1- satisfait de remarquer que les habitants s’abstiennent carrément de gaspiller de l’eau (par avarice, comme par non engagement de leur part). 2- déçu de constater que les espaces verts convenables ainsi que toute sorte de verdure en plein sens du mot ne demeurent même pas le dernier souci des décideurs locaux, dès lors qu’il n’existe à la belle cité azemmourienne pratiquement aucun espace vert, de quelque nature qu’il soit. Ainsi, et la population et le conseil municipal s’alignent tous ensemble, comme il se doit, à la portée de l’adage populaire qui stipule : « kem mine hajatine 9adayna8a bi tarki8a ». A bientôt et à la prochaine.
Azemmourien de 1949 Lundi 09 Juin 2014 20:54
Une phrase devant compléter, sinon faire surgir le sens de mon idée, a sauté du texte, dans la huitième ligne du précédent commentaire, après la parenthèse. Aussi, je la récapitule comme suit : 1- "satisfait de remarquer que les habitants s'abstiennent carrément de gaspiller de l'eau (par avarice, comme par non engagement de leur part) et ce, dans la mesure où ils ne daignent même pas planter ne serait-ce qu'un seul petit arbre ou toute autre plantation devant leurs domiciles respectives. Mêmes leurs villas sont, le plus souvent, dénuées de tout genre de verdure ; alors qu'autrefois, les maîtresses de foyer à Azemmour (même les démunies parmi elles) en faisaient un devoir de garnir les entrées de leurs modestes maisons de pots de fleurs multicolores qu'elles arrosaient d'une manière régulière pour faire pousser harmonieusement les grains de ces roses et de ces fleurs. Le reste sans changement. A bientôt et à la prochaine.
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