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  C'est Superbe !!
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[8] Commentaires des visiteurs du site
farjaoui hadj abdelkader Mardi 21 Avril 2009 18:21
Bonjour;je peux signialer que Azemmour appartient à tout le monde au rureaux comme au citadins et c'est ce qui a donner à notre ville une multi culture et une biodiversité de contacte humaine(casablanca :90 pour cent de ces habitants ne sont pas des casablancais) et le mot imigration il ne faut pas le dire dans son propre pays et tout marocain et libre de s'instaler et habiter ou il veut tant qu'il veut./
farjaoui bhadj abdelkader Samedi 07 Novembre 2009 15:11
Merci Habiba ;c'est trop gentille de t'as part et j'ajoute que l'amour c'est une equation qui se fait avec deux ou des inconus et dés quand détécte un le restant est trop facile.l'amour d'Azemmour c'est un instin,destin,culture,habitude, tradition,cotume,humour,joie;extase,honneur,hertage ,patrimoine,et une vérité qui sort du ceour
el mareghichi ahmed Samedi 26 Décembre 2009 00:26
azemmour a nous tous il faut paticiper au changement de cette ville a bientot
ISMAIL LAMGHARI Vendredi 26 Mars 2010 14:08
AZEMMOUR EST L'UNE DES PLUS IMPORTANTES VILLES DU ROYAUME AUSSI BIEN SUR LE PLAN CULTUREL, QU'HISTORIQUE, IL FAUT AJOUTER A CELA LE COTE TOURISTIQUE SURTOUT CES DERNIERS TEMPS OU ON COMMENCE A SE RENDRE COMPTE DE CE POTENTIEL QUI ATTIRE DE PLUS EN PLUS DE PERSONNES ET SURTOUT DES ETRANGERS QUI ONT ELU DOMICILE A CETTE CHARMANTE VILLE ET CECI A SES RAISONS ( NATURE/ ACCUEIL/ PLAGE ....)
ON NE SE REND COMPTE DE CE QU' ON A QU' UNE FOIS QU' ON L'AURA PERDU COMME DIT LE VIEUX ADAGE ET POUR APPRECIER AZEMMOUR A SA JUSTE VOULOIR IL FAUT LA REGARDER DE LOIN OU MEME DE L'ETRANGER. PERSONNELLEMENT J'AIME MA VILLE ET SES GENS ET J'AI HATE DE LA RETROUVER
ZEMMOURI AH Samedi 03 Avril 2010 21:59
Je me permet de repondre a hind; juste pour expliquer que notre belle azemmour est bien decedee en meme temps que elmarhoum haj marwane . et qu'on bien besoin des immigrés peut etre dans le lot on trouvera quelques un aelire esperant tadrabhoum nafsse 3la azemmour .CE QUI EST PAS LE CAS ACTUELLEMENE AVEC NOS ELUS (wlad lablad)
Abderrahim Fak Mardi 17 Mai 2011 20:46
au contraire, cette petite ville peut tenir le coup comme elle l'a toujours subit ,plusieurs personnes sont venues et reparties , mais la ville est restée la même , ça ne veut pas dire qu'elles n'ont rien fait , mais elles ne savaient tout simplement rien faire , . ces gens qui se sont succédés l'un après l'autre étais tous natifs ou descendants de cette même ville,nonobstant rien n'a été enregistré pour eux rien qu'un passé de malheur c'est une trahison terrifiante et inoubliable notée pour eux , c'est bien dommage !!!!!.....
Abderrahim Fak Vendredi 27 Mai 2011 23:32
C'est à cette ville où lalla yakouta al azemmouria a vu le jour , haute juriste dans l'histoire de la maturité intellectuelle et l'intégrité de la société musilmane médiévale , non seulement d'azemmour mais également de son époque entre le Vème et le XIIème siècle . oui il s'agit de la nommée lalla yakouta al azemmouria , présente comme = el faqiha al alima as-soufia , élite focale d'azmmour* au sens issue d'azemmour . Cette illuminée avait fonction de qadiate al qodate * haute juriste* une mission resérvé habituellement à la gent masculine des foqahas chevronnés ...à suivre.
Azemmourien de 1949 Lundi 03 Février 2014 21:05
Je voudrais consacrer le présent commentaire aux dispositions judicieuses et murement réfléchies de quelques établissements de commerce de jadis à la belle cité AZAMA, la charmante et la romantique cité du littoral atlantique. En effet, tout était autrefois en ordre et très bien organisé à Azemmour, tant bien au sein de l’ancien marché couvert du centre de la ville qu’à travers des places conçues sagement pour chaque genre de commerce respectif. Ainsi, en accédant à cet ancien marché couvert à aspect vivement moderne à l’époque et d’une architecture de type européen, vous aviez directement en face de vous, les poissonniers qui vous exhibaient –dans une exposition fantastique sur une surface carrée de quatre côtés- divers genres de poissons frais, dans un étalage aussi merveilleux que l’habillement des marchands de cette denrée. A votre droite, vous aviez une alignée de marchands de légumes, à côté de ceux de la menthe et consorts, jusqu’au local d’adjudication des poissons (ce local n’existe hélas plus à Azemmour, alors qu’il fonctionnait régulièrement tous les matins de la semaine, le dimanche compris). Juste après, sur toute la façade derrière et en face encore des poissonniers, vous aviez les marchands d’olives, de condiments, d’épices et de toutes espèces allant avec. Symétriquement en opposition aux marchands des légumes, vous aviez le rang des bouchers qui s’étalaient –de ce côté-là- jusqu’à la seconde voie d’issue du marché. D’autre part, l’existence d’une boulangerie-pâtisserie moderne à l’extérieur, sur la façade principale dudit marché, venait apporter un rajout magnifique et utile au charme du marché (ce dernier commerce était exploité jadis par un couple franco-algérien qui utilisait pour cela des fours également modernes en face de la pâtisserie, sur l’autre voie de l’avenue Mohamed V). Je voudrais citer là, à titre d’exemple reflétant à merveille le goût raffiné des anciens commerçants azemmouriens, comme on n’en trouve plus de nos jours dans notre malheureux patelin, les deux jolies boutiques de vente de beurre salé et de celui dit racé (smen lhaïl), ayant été tenues pittoresquement l’une à côté de l’autre, en face du marché couvert, par les feus haj Mohamed El Aroui (père du docteur Abdellah El Aroui, une grande fierté d’Azemmour, et de Abdelkader et Aïcha El Aroui, tous de derb El Aroui) et de Ahmed Lahlou (père de Jalila Lahlou, de derb Abdeljalil). Ah, le bon vieux temps qui traduisait parfaitement et fidèlement la civilisation anciennement ancrée au sein des familles de la charmante cité AZAMA. Tout y était vraiment beau, splendide et fabuleux. Tout y inspirait bonheur, quiétude, aisance de vie et surtout honneur. Comment, ma foi, avec l’état actuel des choses de notre lieu natal, pourrions-nous corroborer -à présent- les impressions que nous, anciens azemmouriens, tenions autrefois à faire avec persistancfe, la tête haute et avec une certitude non équivoque, de la civilisation, pourtant ancestrale, qui prévalait jadis au sein des remparts de notre historique ville ? Laquelle n’a plus -présentement- de qualificatif de ville proprement dite, que pour ses populations autochtones, motivées en cela par l’amour grandiose qu’ils ne cessent de porter dans leurs cœurs pour leur cité d’origine. A bientôt et à la prochaine.
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