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  Tour Sidi Ouadoud
Tour Alkasaba  
[2] Commentaires des visiteurs du site
visiteur Mardi 17 Septembre 2013 17:30
Allah, Allah, Allah, 3ala karita 3odma! Mon Dieu, quelle catastrophe grandiose! Tout celui qui entend parler de restauration ou de réfection, et qui ne sait pas ce que cela veut dire, qu'il vienne illico à Azemmour où, si jamais ma foi il aura la chance -plutôt l'honneur- d'être reçu par les membres du valeureux conseil municipal, ceux-ci, maîtres et spécialistes en la matière, lui enseigneront les ABC de la chose publique. Alors, dépêchez vous à venir nombreux au siège de la municipalité. N'hésitez pas à leur poser toutes les questions inhérentes au sujet susceptibles de passer dans vos têtes. Vous verrez que vous vous régalerez par la richesse des connaissances que nos braves élus possèdent à ce titre. Ils sont vraiment forts dans ce domaine, il faut le reconnaître. Tenez, l'exemple frappant, à même de corroborer mes "allégations" là-dessus, se trouve bien là devant vos yeux. Qui dit mieux? Observez combien ils ont parfaitement su comment faire pour restaurer ces remparts, surtout les fenêtres. Oh, ils sont vraiment champions! il n'y a rien à dire à ce sujet. C'est ça ce que l'on appelle briller dans la gestion de la chose publique. Lhassil, Allah yn3al li ma yahcham. A bientôt et à la prochaine.
Azemmourien de 1949 Jeudi 17 Octobre 2013 21:24
En additif à mon commentaire ci-dessus (j'ignore d'ailleurs comment, indépendamment de ma volonté, il a été intitulé "visiteur"), je voudrais signaler que cette plante grimpante, type de la famille des bignoniacées ou de la famille des nyctaginacées (le bougainvillier), cultivée généralement dans un but purement ornemental, de par sa verdure flamboyante et constante et la couleur rougeâtre de ses fleurs, est utilisée communément pour décorer la clôture des villas, entre autres édifices, ou alors plantée dans un jardin public ou espace vert, avec de multiples formes fantastiquement décoratives, comme par le passé à Azemmour, par exemple. Personnellement, je n'en vois pas l'utilité aux bords des remparts, dans un état délaissé à la bohémienne. Mais, je n'arrive nullement à comprendre les idées et réflexions de nos décideurs dont les élus, notamment en matière de paysages et espaces verts. Si c'est comme cela, il vaut mieux qu'ils optent pour des céréales (orge, maïs, blé tendre, blé dur, ou alors d'autres plantes comme "bouzghaïba" et "krinbouche" qui poussaient sauvagement dans les champs autrefois lorsque la saison agricole apparaissait bonne. Je ne pense pas que nos jeunes d'aujourd'hui savent ou ont déjà entendu parler de ces deux derniers genres de plantes. Cela fait bien longtemps qu'elles ne poussent hélas plus dans nos champs et vergers. par conséquent, nos conseillers municipaux ont bien besoin de s'instruire dans ce domaine où ils s'avèrent vachement ignares. Or, à voir ce malheureux tableau, avec ces plantes orphelines à côté de ce patrimoine bousillé jusqu'au dernier détail, on dirait que notre conseil municipal se maquille au rouge à lèvres sans se moucher le nez ; autrement dit "laâker fouko lakh...." Ioua kemlou men ândkoum. (je n'ai pas eu l'audace ni le courage de prononcer ce mot, par déférence à l'égard des chers visiteurs dont je demande humblement pardon). A bientôt et à la prochaine.
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